Bio’bric : En pole position sur le marché de la maison individuelle

Rédaction
24/11/2021
Modifié le 04/05/2022 à 09:51

A travers sa marque Bio’bric, le groupe Bouyer Leroux s’est bien implanté sur le marché de la maison individuelle et du logement collectif. L’industriel propose des solutions en briques de terre cuite pour le mur et la cloison.

Dans le monde de la brique de terre cuite, plus le nombre d’alvéoles présentes sera élevé, plus fort sera le pouvoir thermique du matériau. [©Bouyer Leroux]
Dans le monde de la brique de terre cuite, plus le nombre d’alvéoles présentes sera élevé, plus fort sera le pouvoir thermique du matériau. [©Bouyer Leroux]

A travers sa marque Bio’bric, le groupe Bouyer Leroux s’est bien implanté sur le marché de la maison individuelle et du logement collectif. Et ce, en proposant des solutions en briques de terre cuite pour le mur et la cloison. « Nous disposons de sept sites de production en France et n’utilisons que des matières premières locales », précise Julien Pérez, chef de marché maison individuelle chez Bouyer Leroux.

Selon la Fédération française tuiles et briques (FFTB), près d’une maison sur deux et un logement collectif sur trois sont construits en brique de terre cuite. Dans le premier segment, Bio’Bric occupe 20 % du marché. « Nous travaillons avec les négoces professionnels, mais nous entretenons une relation directe avec les prescripteurs. Nous sommes plus dans une approche partenariale. » Dans le monde de la brique de terre cuite, plus le nombre d’alvéoles présentes sera élevé, plus fort sera le pouvoir thermique du matériau.

Des avantages thermiques non négligeables

« Les blocs de 20 cm sont un standard sur le marché. Leur R varie entre 0,75 m2.K/W et 1,5 m2.K/W, ce qui répond déjà à la RT 2012. Pour la future RE 2020, nous l’avons déjà intégrée dans notre réflexion produits. L’indicateur le plus important pour nous est le Bbio. Et nous avons les leviers pour y répondre, notamment en termes de perméabilité, d’isolation thermique et de gestion des ponts thermiques. Par exemple, notre bgv’thermo + bénéficie d’un R = 1,5 m2.K/W. Cette solution permet d’obtenir une bonne résistance thermique sans augmenter l’épaisseur des murs et de traiter les ponts thermiques efficacement. »

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