GreenFlex accompagne vers la transition écologique

Rédaction
21/04/2021
Modifié le 22/06/2021 à 17:02

GreenFlex accompagne les différents secteurs de l’industrie et de l’entreprise dans le développement durable, la décarbonation et l’efficacité énergétique.

Thibault Peraillon, directeur conseil énergie/territoire et directeur projet EnergieSprong. [©GreenFlex]
Thibault Peraillon, directeur conseil énergie/territoire et directeur projet EnergieSprong. [©GreenFlex]

Créée en 2008, GreenFlex accompagne les différents secteurs de l’industrie et de l’entreprise dans le développement durable, la décarbonation et l’efficacité énergétique. L’entreprise, multi-expertises, fonctionne autour de plusieurs grands axes. « Nous avons trois métiers clefs, le conseil environnemental et sociétal, la mise en œuvre d’objectifs avec une étude technologique associée, explique Thibault Peraillon, directeur conseil énergie/territoire et directeur projet EnergieSprong. Mais aussi, toute la partie financement. Au-delà de concevoir des stratégies, nous aidons à négocier avec des partenaires bancaires, des investisseurs formés au bas carbone. La neutralité carbone est une mutation de fond et un des enjeux majeurs pour atteindre l’objectif 2050. »

Ainsi, GreenFlex accompagne tous types d’acteurs dans la réalisation de feuilles de route, de la mise en œuvre des actions, afin de permettre un engagement performant et impactant. Il réalise des préconisations d’actions et garantit un impact théorique vérifié avec l’ensemble des parties prenantes.

Des éco-systèmes vertueux

En effet, GreenFlex s’engage à générer des éco-systèmes vertueux autour de mise en relation. Dans le secteur du bâtiment, l’entreprise accompagne aussi bien des industriels que des entreprises de rénovation et aussi des partenaires publics. Parmi ces différents programmes, GreenFlex est chargé de développer en France le programme EnergieSprong. « Nous nous plaçons comme un tiers de confiance, nous développons des filières et portons des projets. EnergieSprong consiste à massifier la rénovation et changer de paradigme pour aller vers plus de performance et de qualité. »

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En effet, dans la stratégie bas carbone française, la rénovation énergétique des bâtiments a pris une place importante. « Le programme consiste à déterminer les blocages au niveau des marchés. Se poser la question de qui sont les entreprises concernées et comment les mettre en partenariat avec les banques et le législateur. » Dans cette démarche, EnergieSprong France s’est appuyé sur le logement social. Avec pour objectif le “zéro énergie” avec un niveau de performance supérieure à celle de la RE 2020.

La massification de la rénovation énergétique comme levier

« Nous attaquons une filière très performante sur un secteur de marché précis, afin d’être le plus cohérent possible et de transmettre le principe de marché en marché. Aujourd’hui, différentes initiatives existent, il y a beaucoup de bonne volonté, mais elles sont très exilées. Il manque la “vague” rénovation et il est nécessaire de créer des interactions entre les différentes parties prenantes autour d’un objectif commun. Il y a des barrières, mais il faut réussir à donner de la visibilité, en engageant tous les acteurs. »

Près de 120 acteurs se sont déjà engagés dans la démarche EnergieSprong. [©EnergieSprong]
Près de 120 acteurs se sont déjà engagés dans la démarche EnergieSprong. [©EnergieSprong/Vilogia]

Si pour le moment, la partie énergie est plutôt mise en avant, le programme EnergieSprong n’oublie pas le carbone. « C’est comme monter les escaliers. Si la première marche est trop haute, on ne peut pas l’atteindre. Nous nous sommes engagés dans le “zéro énergie”, mais nous allons atteindre prochainement la deuxième marche “carbone”. » Ainsi, GreenFlex continue toujours à développer EnergieSprong [Lire notre article à ce sujet], afin de l’adapter au mieux à l’approche française. « Nous travaillons à l’échelle du territoire régional avec des ressources locales, conclut Thibault Peraillon. Il faut trouver une balance entre le coût, la qualité, l’impact et l’intérêt régional. »