Simulaterre : Un serious game pour la terre cuite

Rédaction
26/03/2019
Modifié le 12/08/2020 à 22:46

“Simulaterre, L’aventure de la terre cuite” est le serious game, qui fait découvrir aux jeunes les métiers de l’industrie de la terre cuite.

“Simulaterre, L’aventure de la terre cuite” est le serious game, qui fait découvrir aux jeunes les métiers de l’industrie de la terre cuite. [©DR]
“Simulaterre, L’aventure de la terre cuite” est le serious game, qui fait découvrir aux jeunes les métiers de l’industrie de la terre cuite. [©DR]

Pour la semaine de l’industrie (du 18 au 24 mars dernier), les fabricants de matériaux de construction en terre cuite ont lancé “Simulaterre, L’aventure de la terre cuite”,un serious game pour faire découvrir aux jeunes trois métiers de l’industrie de la terre cuite.Développé avec le soutien de l’OPCA3+ et de l’Education nationale, ce serious game entraîne les 13-18 ans et sera mis à leur disposition par la profession, les Centres d’information et d’orientation (CIO) et via des plates-formes dédiées à l’orientation et à la formation.

Pour ce premier opus, ce sont les métiers de conducteur d’installation, de technicien de maintenance et d’ingénieur process que les jeunes sont invités à découvrir.Le jeu combine une intention sérieuse, qui est la connaissance des métiers avec une forme ludique et scénarisée. Le joueur ou la joueuse est accueilli (e) dans une usine. Après une rapide séquence de présentation par un jeune collègue, il choisit un métier, découvre les différentes étapes du process et les grands enjeux du poste, en circulant dans les installations. Il se voit aussi proposer trois défis sous forme de jeux de mémoire, de logique…, ainsi qu’une séquence de pilotage de drone dans une usine et autour de la Cité internationale à Lyon, ouvrage emblématique de la terre cuite. « Notre objectif est de montrer les atouts de la filière. Nos process sont hautement automatisés et robotisés. Et les métiers, tout comme les usines sont modernes. Les métiers sont polyvalents et également hautement techniques », explique Isabelle Dorgeret, directrice générale de la Fédération française des tuiles et briques (FFTB).

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