Haver & Boecker a présenté lors de la dernière édition de Powtech, sa Haver Adams Process, une nouvelle génération d’ensacheuses compactes.
![La “famille” Adams s’expose sur Powtech ! [©Haver & Boecker]](https://www.acpresse.fr/wp-content/uploads/Haver.jpg)
La “famille” Adams s’expose sur Powtech ! [©Haver & Boecker]
Haver & Boecker a présenté lors de la dernière édition de Powtech, sa Haver Adams Process, une nouvelle génération d’ensacheuses compactes.
La “famille” Adams s’expose sur Powtech ! [©Haver & Boecker]
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Le choix du bois dans le cadre d’une surélévation présente de nombreux avantages. Comment réaliser une surélévation réussie et comme traite-t-on l’isolation ?
Dans le projet de loi “Climat et Résilience”, le gouvernement entend diviser par deux le rythme d’artificialisation des sols. Et ce, sur les deux prochaines années par rapport à la décennie précédente. Il prévoit aussi la requalification des friches existantes et des bâtiments, avant de passer à l’étape de la démolition. L’idée avec ce type de mesures est de réduire l’étalement urbain et de préserver les espaces naturels. Si ces actions sont nécessaires dans la lutte contre le réchauffement climatique, la question de l’habitat, des espaces de travail ou même de transport en commun est tout autant essentielle.
C’est un fait, la population mondiale augmente tous les ans. Ainsi, nous sommes passés de 5,3 Md d’habitants en 1990 à presque 8 Md en 2020. Comment loger et faire cohabiter toutes ces personnes dans des conditions décentes ? La rénovation énergétique des bâtiments vise justement à rendre le parc français plus résilient et plus économique.
La future réglementation environnementale 2020 tend aussi vers cette quête de performances. Les deux sont liées pour accompagner la transition écologique et les évolutions sociétales.
Dans ce dossier, nous nous intéressons à la surélévation. Construire de façon verticale plutôt qu’horizontale, ne serait-ce pas là une des solutions contre l’artificialisation des sols et une réponse à la problématique du logement en zone dense ? Simple dans l’idée, la discipline demande un réel savoir-faire. Que ce soit en amont, avec une phase “réglementaire” qui dépend de la loi et des Plans locaux d’urbanisme (Plu). De plus, elle s’accompagne d’une phase de calculs, afin de modéliser la solution constructive la plus adaptée. Le bâtiment peut-il supporter de nouvelles charges ? Faut-il renforcer sa structure ? Toutes ces questions sont capitales. Par ailleurs, la cohérence architecturale a son importance. Une exigence de taille dans certains Plu. Ici, nous avons choisi de mettre en lumière la construction bois.
Sivagami Casimir Journaliste
Ces dernières années, l’innovation touchant le béton a surtout été technique. Ainsi, entre Bap, BHP, Bis ou Bfup, le matériau est devenu pluriel. A présent, c’est le vocable “bas carbone” qui supervise ses évolutions à venir.
En revanche, côté services, les choses sont longtemps restées figées. Pour accéder au produit, chacun continue de téléphoner, d’envoyer une télécopie, parfois un mail.
Puis, commence l’attente de la toupie. Mais où est-elle ? Elle est partie... Il y a longtemps ? ... Il doit y avoir des embouteillages ! Et qu’en est-il de celui – particulier, artisan ou entrepreneur spécialisé – qui n’a besoin que de quelques dizaines de litres, à récupérer sous centrale ? Pas vraiment prévu dans l’organisation, car complexe à gérer.
Pour répondre à la première attente, les industriels du BPE ont commencé à intégrer les innovations qu’offrent les nouvelles technologies. S’il est possible de commander un hamburger ou un jeans avec son smartphone, il n’y a aucune raison de ne pas pouvoir le faire pour son béton. Puis, de suivre la progression de la toupie via une application dédiée.
Pour ce qui est des petits volumes, l’idée a aussi fait son chemin. On commence à parler “distribution automatique du béton”. Des mini-centrales autonomes font peu à peu leur apparition dans le paysage. Une borne permet de sélectionner la formule et le volume avant de payer par carte bancaire. Ne reste plus qu’à réceptionner son matériau dans une remorque et le tour est joué.
Les nouveaux usages et services autour des bétons se développent. Ils sont à découvrir dès la page 22 du présent numéro. Alors bonne lecture.
Frédéric Gluzicki
Directeur de la publication
Etre éco-responsable, c’est « chercher à intégrer des mesures de protection de l'environnement dans ses activités, ses principes ». Comment s’isoler tout en respectant cette ambition ?
Cela fait plus d’un an que le monde s’adapte au rythme de la pandémie. Les restrictions sociales et de mobilité ont incontestablement changé nos façons de vivre. La notion de “monde d’après” a peu à peu pris place dans le vocabulaire populaire. Et avec elle, des interrogations sur notre façon de travailler, d’interagir et de consommer se sont immiscées par la force des choses dans notre quotidien. Outre les problématiques socio-économiques que la crise engendre, la question de la transition environnementale s’est aussi hissée dans les discussions. Car Covid ou pas Covid, le réchauffement climatique reste toujours un mal latent.
Tout le monde parle de cette fameuse transition. Dans nos articles, nous avons eu de multiples occasions de placer le sujet au cœur des enjeux de ces prochaines décennies. Mais dans les faits, a-t-on pris définitivement le grand virage ? Si le Plan de Relance pour la rénovation et la RE 2020 pour la construction neuve animent les débats sur les passoires énergétiques et la notion de neutralité carbone, le chemin vers l’édification d’un parc de bâtiments performants sur le territoire est encore long.
Sivagami Casimir Journaliste