Portes Bonheur : Le chemin des carrières

Rédaction
23/07/2019
Modifié le 21/09/2021 à 16:39

Avant sa transformation en voie verte baptisée “Portes Bonheur, le chemin des carrières”, une voie ferrée dédiée au transport de voyageurs, mais surtout de matières premières provenant de carrières alentour, sillonnait le paysage.

Nouyrit Métallerie a œuvré sur les portes de La Léonardsau : deux très grandes tôles métallique laminée en Suède, d’une épaisseur de 40 mm, pour 5 m de hauteur et 4,20 m de large. « Chaque élément de la porte pèse 4,5 t. Les deux façonnent le paysage. » [©Parenthèse]
Nouyrit Métallerie a œuvré sur les portes de La Léonardsau : deux très grandes tôles métallique laminée en Suède, d’une épaisseur de 40 mm, pour 5 m de hauteur et 4,20 m de large. « Chaque élément de la porte pèse 4,5 t. Les deux façonnent le paysage. » [©Parenthèse]

Un belvédère, des œuvres d’art architecturales, des points de vue inconnus et des lieux jusqu’ici cachés par la végétation. Un parcours tout droit sorti de l’imagination du cabinet d’architectes norvégiens Reiulf Ramstad et des concepteurs-paysagistes français de l’agence Parenthèse (mandataire). Avant sa transformation en voie verte “Portes bonheur, le chemin des carrières”, une voie ferrée dédiée au transport de voyageurs, mais surtout de matières premières provenant de carrières alentour, sillonnait

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