Artibat met en place un campus formation

Actualités
Colin Rousselet
06/09/2023
Modifié le 14/09/2023 à 14:41

Artibat 2023 donne rendez-vous dans moins de 2 mois. Alors que les derniers stands sont réservés, l’organisation a mis en place un campus formation.

Artibat 2023 met en place un campus formation [©Artibat]
Artibat 2023 met en place un campus formation [©Artibat]

A moins de 2 mois du coup d’envoi, l’effervescence autour du salon Artibat se fait de plus en plus sentir. Plus de 1 000 exposants sont attendus et 95 % de la surface totale d’exposition est déjà réservée. A l’occasion de cette nouvelle édition, les organisateurs mettent en place un campus formation, baptisé “10 mn pour comprendre”.  « Ce parcours technique est né de l’ambition de la Capeb des Pays de la Loire de sensibiliser l’ensemble des professionnels au réflexe formation profitable aux entreprises à tous les niveaux. L’enjeu de ce projet ? Dix minutes pour approcher un sujet, optimiser un geste, se questionner sur la sécurité sur chantier ou en entreprise », explique Valérie Sfartz, directrice du salon. Les professionnels seront accueillis par des membres de la Capeb des Pays de la Loire. Ainsi, ils pourront tester leurs connaissances et découvrir de nouvelles techniques.

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Neuf ateliers, répartis entre les halls 2 et 3, composeront le campus formation. Et déclineront des thèmes qui varieront entre sécurité, technique et matériaux. Les visiteurs pourront se former aux risques du travail en hauteur, aux gestes de premiers secours et aux dangers des addictions sur les chantiers. Ensuite, ils auront accès à des ateliers sur la menuiserie, la pose de panneaux photovoltaïques et la maintenance des chaudières. La gestion de l’eau sera aussi l’une des problématiques mises en valeur dans l’un des ateliers. Enfin, les vertus de la paille et la construction en chanvre seront étudiées pendant l’évènement. « Avec 40 000 professionnels attendus, l’opportunité d’accompagner, d’informer pour mieux déployer les bonnes pratiques sur le terrain et de répondre aux grands enjeux de la construction et de la société était une évidence », conclut Valérie Sfartz.

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