Sateco : « Très bonne année 2018 »

Rédaction
14/12/2018
Modifié le 24/03/2020 à 16:46

« Très bonne année 2018 ». C’est par se mots que commence l’interview de François Guilloteau, président de Sateco.

« Très bonne année 2018 ». C’est par se mots que commence l’interview de François Guilloteau, président de Sateco.
« Très bonne année 2018 ». C’est par se mots que commence l’interview de François Guilloteau, président de Sateco.

« Très bonne année 2018 ». C’est par se mots que commence l’interview de François Guilloteau, président de Sateco, donnée lors de la Journée portes ouvertes de l’entreprise, mi-octobre dernier. Mais quid des perspectives 2019 ? La première partie semble très bien orientée. « Il y a des commandes de coffrages spéciaux pour les EPR britanniques, ça nous laisse un peu de perspectives. » Le carnet de commandes de Sateco pour l’année prochaine sera aussi en lien avec la conjoncture économique. Grand Paris et Jeux Olympiques amèneront des commandes forcément. François Guilloteau referme cette interview, en précisant l’importance d’être présent à la Bauma en avril 2019.

2018 : d’excellents résultats

Sinon, François Guilleteau revient sur l’importance du salon Intermat, qui a permis de montrer les dernières innovations du groupe. Cette année a aussi été marquée par un carnet de commandes exceptionnel. Plusieurs facteurs expliquent ces bons résultats : le marché, la conjoncture, une stratégie payante et des investissements. Des investissements qui, depuis dix ans, s’avèrent fructueux : déjà dans deux halls de production, dans trois lasers et dans une presse plieuse. Et ces deux dernières années, 10 M€ d’investissements ont été injectés dans l’entreprise pour se développer, car 95 % de ce qui est fabriqué est « fabriqué à la maison », d’où le besoin d’outils performants et modernes. De plus, François Guilleteau revient sur le rachat de HK Services, agent Sateco sur la Suisse, qui a développé les banches métalliques dans le pays. Ce rachat s’inscrit dans un souci de pérennité et de déploiement à l’export. François Guilleteau insiste aussi sur la pénibilité du travail et sur tout ce qui est fait pour diminuer cette dernière pour les compagnons. « L’investissement va aujourd’hui dans le sens de la santé des salariés. »

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