Seine-et-Marne : Wacker Neuson ouvre ses portes

Rédaction
14/09/2020
Modifié le 21/09/2021 à 14:56

L'entreprise Wacker Neuson se dirige vers une démarche de plus en plus verte. Le "zéro émission" est présent sur les machines et équipements.

Retrouvez cet article dans le n° 85 de Béton[s] le Magazine

« La vibration du béton fait partie des gènes de Wacker Neuson », rappelle Patrice Boffo, directeur de l’activité béton et chef de produits “gamme légère”. [©ACPresse]
« La vibration du béton fait partie des gènes de Wacker Neuson », rappelle Patrice Boffo, directeur de l’activité béton et chef de produits “gamme légère”. [©ACPresse]

Les actualités se télescopent parfois. Alors même que la filiale française de Wacker Neuson organisait sa journée portes ouvertes, sa maison-mère annonçait la cession de son activité “truelles mécaniques”. Pour autant, cette journée destinée à la présentation de l’ensemble de l’offre et à des rencontres avec les utilisateurs n’en a pas été compromise. Ainsi, l’activité béton continue à tenir une place de choix dans l’entreprise. « La vibration du béton fait partie des gènes de Wacker Neuson », rappelle Patrice Boffo, directeur de l’activité béton et chef de produits “gamme légère”. Elle ne fait donc pas partie de la cession, bien au contraire. 

L’offre “vibration” se décline en deux lignes : externe et interne. Cette dernière catégorie voit l’arrivée d’une véritable nouveauté, dévoilée sur le stand Wacker Neuson à Batimat. Le produit s’appelle ABCe et consiste en une aiguille vibrante alimentée par une batterie installée dans un sac à dos. Le premier avantage pour l’utilisateur est l’absence de fil électrique au sol. Les visiteurs ont eu ainsi l’opportunité de découvrir cette aiguille en avant-première à l’occasion de la journée portes ouvertes. Surtout, l’évènement a permis à chacun d’échanger avec l’équipe “béton”. Et de voir que l’évolution “verte” est bien en marche au sein de l’entreprise. « Le “zéro émission” est présent sur nos machines et équipements de chantier. Avec l’ABCe, il entre dans l’univers des béton », conclut Patrice Boffo.